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On en parle...

« Au chevet du poème de Paul Valéry « La jeune Parque », Julie Delille et sa fine équipe du Théâtre des trois Parques, loin de toute représentation habituelle, subliment le poème dans un spectacle qui éblouit autant qu’il sidère. »

« Le moins que l’on puisse dire est que Julie Delille entretient avec l’œuvre de Paul Valéry une relation privilégiée assez rare pour être soulignée. »

« Un conte au parfum symboliste et gothique que n’auraient renié ni Maeterlinck, ni Edgar Poe, et que met en scène avec une rare perfection formelle — dans les noirs éclairages comme dans le très mystérieux travail sonore — son unique interprète. […] Julie Delille donne étrangement corps au verbe indocile et fou d’Anne Sibran, revendique le noir de la salle, le silence et le cri des forêts. Et son obscure plongée en terre animale renvoie à de sorciers territoires enfouis en chacun…»

« Il y a trois acteurs, pour ainsi dire : Julie Delille, la lumière et le son.
La pièce, toute en clair-obscur, avec des images d’une rare puissance, nous parle d’animalité, de bestialité et de violence. Celle de la nature et celle faite à la nature, aux ordres ou au désordre naturels…»

« Je suis la bête, donné deux jours au Bois de l’Aune est un spectacle radical, dérangeant, qui ne laisse personne indifférent. […] Au-delà de la performance de comédienne, Julie Delille distille ici une leçon de vie, de courage. […] Avec pour intention d’inventer des espaces poétiques intenses, la comédienne propose au spectateur dans ces espaces de suggestion d’être lui-même créateur et actif. »